De l’est à l’ouest, de l’hiver à l’automne, de trace en piste que la mer recouvre et efface, l’interminable passage s’enroule et prend son élan avant d’éclater sur d’autres rivages. L’œil de l’aigle perçoit les subtils et multiples lents mouvements du paysage.
Toujours le même jour, jamais le même port,
vague après vague, sommet après sommet.
Et l’intérieur qui modèle les couleurs.